Curd Jürgens an seine Mutter Marie-Albertine („Moussia“). Graz [1949]
![Curd Jürgens an seine Mutter Marie-Albertine ("Moussia"). Graz [1949]](http://curdjuergens.deutsches-filminstitut.de/medien/2015/11/6_2_1_Korresp_CJ_Mutter_009.jpg)
Curd Jürgens an seine Mutter Marie-Albertine („Moussia“) während der Dreharbeiten zu PRÄMIEN AUF DEN TOD (1950). Graz [1949]
![Curd Jürgens an seine Mutter Marie-Albertine ("Moussia"). Graz [1949]](http://curdjuergens.deutsches-filminstitut.de/medien/2015/11/6_2_1_Korresp_CJ_Mutter_009a.jpg)
Curd Jürgens an seine Mutter Marie-Albertine („Moussia“) während der Dreharbeiten zu PRÄMIEN AUF DEN TOD (1950). Graz [1949]
Toujours encore je compte parti pour les États-Unis au I. octobre mais je ne me réjouis pas avant d’être installé dans le bâteau qui pars de Gène [= Gênes]. Espérons[-]le!
et si tout tombe bien je te revenai vers le ^0 où 15 octobre. En tout cas je t’envoie un télégramme avant de quitter.
S’il t.p. embrasse Jeannette pour le 20 Aout. Je souhaite qu’elle va miuex et que la mauvaise ituation changera. J’espère que l’officier du state department m’aidera de prendre où de changer où de recevoir quelques ____ pous vous qui nous aiderons chez-vous .
Motschilein il y a tellement à raconter que je sais pas où commencer mais si Dieu vieux [= veut] deux mois au plus tard tu pourra[s] m’écouter et me poser tant de questions que tu veux. En attendant
mille, mille baisers de ton
Fils
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